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Scolarité Au Bangladesh
Scolarité Au Bangladesh
Scolarité Au Bangladesh

Malgré une décennie de croissance économique, la majorité de la population du Bangladesh manque de moyens et continue de vivre dans la pauvreté.  Et les statistiques sont pessimistes : Un tiers des nourrissons du pays souffrent d’un retard de croissance dû à une alimentation insuffisante. Le pourcentage de filles bangladaises mariées à l’adolescence est l’un des plus élevés du monde.

L’équipe de la MAF au Bangladesh considère que c’est un privilège de travailler avec Plan International. C’est une organisation qui défend les droits des enfants bangladais. De quelle manière ? En s’assurant qu’ils ont accès à la scolarité, aux soins de santé, à l’eau potable et aux toilettes.

Il y a quelques mois, deux travailleuses de Plan International – le Dr Asad et Mme Chakraborty – ont utilisé l’hydravion de la MAF pour se rendre à Barguna. C’est un endroit situé dans le sud du pays.  C’était pour une visite de trois jours sur le terrain.  Elles ne sont engagées avec l’organisation que depuis 18 mois. Mais cette visite sur le terrain les a donc aidées à mieux comprendre le travail dans cette région reculée.

En terminer avec l’abandon de la scolarité

Tous les projets des ONG sont conçus pour bénéficier à la prochaine génération. Mais ce n’est pas le cas du projet que le Dr Asad et Mme Chakraborty ont visité à Barguna. En effet, celui-ci se concentre sur le soutien aux adolescents locaux.

L’école que Plan International a créée s’attaque aux problèmes qui amènent les adolescents à abandonner leur scolarité. Les cours dispensent une formation pertinente qui inculque des valeurs pratiques pour être un citoyen responsable. Les enseignants sont encouragés à reconnaître les capacités de tous les élèves, en particulier des filles.

Voler dans un avion amphibie, une expérience !

Les deux travailleuses humanitaires ont été extrêmement positives quant à l’expérience de voler avec un avion de la MAF. Mme Asad est une habituée. En effet, elle entreprend son cinquième vol sur le Cessna amphibie de la MAF. En revanche, Mme Chakraborty était sur le point de vivre son tout premier voyage. Elle a fait preuve d’un peu d’hésitation en montant à bord.

Leur enthousiasme est facilement compréhensible lorsque les alternatives sont envisagées. La route menant à Barguna aurait nécessité une combinaison d’autobus et de ferries et aurait duré 14 heures. En revanche, le fait de voler avec la MAF a permis aux femmes d’atteindre leur destination en une demi-heure à peine. Et en plus, elles sont arrivées avec suffisamment d’énergie pour commencer à travailler immédiatement pour les citoyens les plus pauvres de la Barguna.

Photos : Richard Hanson

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