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Michael Prest, directeur d’une mission basée au Royaume-Uni appelée UFM Worldwide, s’est embarqué pour un voyage à Madagascar avec le cœur plein d’impatience.
Depuis des décennies, l’UFM se consacre à aider les églises à envoyer des missionnaires dans le monde entier. L’organisation, qui a vu le jour dans les années 1930 sous le nom de « Unevangelised Fields Mission », a évolué au fil des décennies, en mettant l’accent sur les ministères de formation de disciples.
Des missionnaires en soutien à Madagascar
« C’est la première fois que je viens à Madagascar et ma première expérience avec la MAF, mais j’ai beaucoup voyagé dans le cadre de mon travail », a déclaré Michael. « J’ai beaucoup voyagé dans le cadre de mon travail, mais c’est une occasion unique de voir de mes propres yeux le travail de la MAF ».
Atteindre Mandritsara, dans le nord de Madagascar, par la route prendrait au moins 24 heures. De plus, l’impact du récent cyclone Dikeledi aurait pu rendre le trajet imprévisible et difficile.
Pour une première visite à Madagascar, les complexités d’un tel voyage auraient été insurmontables. C’est surtout vrai si l’on disposait de peu de temps. Alors qu’une heure et vingt minutes avec Patrick Keller, pilote de la MAF, ont fait une grande différence.
Un gain de temps in estimable
Michael devait diriger une retraite d’une semaine pour des chirurgiens chrétiens. Mais pour cela il aurait fallu passer au moins quatre jours à faire l’aller-retour. Bien entendu, cela aurait considérablement réduit l’impact de son voyage. Sans le vol de la MAF au départ de la capitale Antananarivo, Michael a admis « qu’il ne me resterait plus beaucoup de temps ».
Lors de la conférence, Michael a expliqué que sa session était « centrée sur les Béatitudes du chapitre 5 de Matthieu ». C’est un message profond de ceux que Dieu a choisis pour être vraiment bénis. C’est un rappel humble et encourageant de la grâce de Dieu.
Un soutien de longues dates
Les relations de l’UPM avec l’hôpital Mandritsara sont anciennes. En effet, bien que l’UPM ne gère pas l’hôpital, il joue un rôle dans le soutien des partenaires missionnaires de l’UPM qui y travaillent.
Au-delà de Madagascar, l’UPM opère dans plus de 50 pays, avec plus de 200 partenaires missionnaires représentant 30 nationalités. Leur travail couvre divers ministères, y compris les missions médicales, l’implantation d’églises, la sensibilisation des jeunes et le ministère urbain.
« Alors qu’environ la moitié de nos partenaires missionnaires travaillent en Europe, reflétant les besoins croissants de l’Évangile dans cette région, l’organisation s’engage aussi activement dans des missions interculturelles dans des régions telles que l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud », a-t-il déclaré.
Pour Michael, il est essentiel de favoriser les partenariats et d’apprendre des églises locales. Il a souligné les mouvements missionnaires croissants dans lesquels les églises locales envoient désormais leurs propres missionnaires.
« Notre rôle n’est pas de diriger, mais de les soutenir et d’apprendre à leurs côtés », a-t-il souligné.
Michael a exprimé son respect pour le travail de la MAF, déclarant que « La MAF rend un grand service en nous aidant à nous rendre sur place ».